A chaque fois, je me le dis : je ferais mieux de ne pas regarder les Infos… pour ce que ça change… et c’est bien trop mauvais pour ma santé. Cette fois, c’était une manif, un ensemble de manifs plutôt, pour stigmatiser ( la gauchiasse aime bien ce genre de vocabulaire) le racisme de la politique sécuritaire du gouvernement -comme si le Nainpoléon, mari de la chanteuse, pouvait être autre chose qu’anti-blanc- et pour soutenir les sans-papiers et autres pauv’roms virés de leurs trous à rats pourris et par la même occasion de la poubelle d’accueil qu’est devenu notre pays.

100 000 manifestants revendiqués à travers tout le pays, 100 000 Kollabos lambda, politicards ou syndicalistes dont les vendus du Syndicat de la Magistrature, Agnès Jaoui, Jane Birkin, une autre Jeanne quelque chose qui doit être une petite starlette ou chanteuse dont je n’ai jamais entendu parler et Régine Zilberberg Choukroun la très vieille pouf pour représenter les bobos bonne conscience et satisfaits d’eux mêmes. Ceux là même qui, pour flatter leur image, ne s’intéressent qu’aux traine-lattes, de préférence allogènes, et que la vraie pauvreté indiffère car pas assez médiatique… Dommage, quand elle ne se prenait pas encore trop au sérieux j’aimais bien Jane Birkin mais j’aurais du me douter qu’il n’y avait rien à espérer de quelqu’un qui s’est laissé grimper par ce cloporte alcoolique de Serge Lucien Ginsburg… et qui en redemandait…

Devant ce spectacle pitoyable, le texte de Léon Degrelle n’en est que plus actuel!

« Quand je récapitule, je n’ai qu’un sentiment, c’est un immense regret, regret que nous n’ayons pas pu créer ce monde européen qui eut été le maître de l’univers pour toujours, qui assurait à la race blanche, la première des races, la grande domination de l’esprit. Quand nous voyons ce qu’il y a en face, ce que trente ans de victoire des autres ont donné : cette anarchie dans le monde, cette débandade du monde blanc, cette désertion à travers l’univers. Quand nous voyons dans nos propres pays la décomposition des mœurs, la chute de la Patrie, la chute de la famille, la chute de l’ordre social. Quand nous voyons cet appétit des biens matériels qui a succédé à la grande flamme de l’idéal qui nous animait, et bien vraiment, entre les deux, nous avions choisi le bon côté.

La petite Europe misérable d’aujourd’hui, de ce marché commun étriqué, ça peut pas donner le bonheur aux hommes. La société de consommation pourrit l’humanité au lieu de la grandir. Alors nous autres au moins nous avons rêvé à quelque chose de grandiose et nous n’avons qu’un seul désir, c’est que cet esprit là renaisse, et avec mes forces et jusqu’au dernier moment de mon existence, je lutterai pour ça, pour que ce qui fut notre combat et notre martyr soit un jour la résurrection ».

Léon Degrelle

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