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La roue de l’histoire tourne en s’accélérant. Cela signifie pour nous que les ultimes batailles sont proches et qu’il est plus que temps d’acquérir une parfaite lucidité, car nous ne pouvons plus nous permettre de nous tromper d’ennemi et de nous laisser diviser par de faux problèmes.
La première illusion à balayer est celle de la prise du pouvoir. Nous ne prendrons jamais le pouvoir, ni en France, ni en Suisse, ni en Allemagne, ni en Italie, ni en Espagne. Or l’illusion d’une prise du pouvoir n’est pas seulement un gaspillage de forces par mauvaise orientation, gaspillage que je dénonce depuis plus de vingt ans. C’est aussi un facteur de division par rivalité de chefs qui ont en commun une naïve surestimation d’eux-mêmes. L’attente du chef charismatique qui mettra tout le monde derrière lui est à mettre dans le même sac que le retour du Messie et procède de la même démission face à notre propre responsabilité. Je ne cesse de le répéter, pour la plupart en vain : l’âge des Führer est révolu. Nous sommes à l’âge missionnaire qui doit suivre toute grande prophétie. Chacun de nous a le devoir de devenir missionnaire. Mais cela exige de se cultiver, de lire et de réfléchir beaucoup, de développer son élocution et ses capacités de discussion calme et efficace. Cela exige donc de connaître l’adversaire. C’est certes plus pénible que d’attendre l’apparition d’un problématique chef charismatique et même de vendre des journaux, de coller des affiches et de tenir des meetings.
Prendre le pouvoir ? Qui peut espérer encore en avoir le temps ? Les grands drames écologiques font plus que nous pendre sur la tête, ils frappent déjà. La mort de dizaines de millions d’arbres, ormeaux en France, conifères en Europe Centrale, la pollution qui atteint déjà les nappes phréatiques, les marées noires, l’empoisonnement du Rhin, de la Mer du Nord (environ le tiers du poisson péché est rejeté comme inconsommable), les milliers de kilomètres de serpents de déchets plastiques sur les océans, la destruction massive du plancton végétal aux conséquences plus graves que la destruction de la forêt amazonienne, la déchirure de la couche d’ozone, révélatrice de son amincissement général, tout cela ne suffit-il pas pour comprendre ? Tchernobyl ? Une bagatelle en comparaison de ce que je viens d’énoncer.
Les onze millions d’analphabètes avoués en France, les mêmes soixante-cinq millions aux USA, la baisse catastrophique du niveau culturel que le bradage des diplômes ne peut cacher, les 45% de professeurs français qui ont déjà pris des baffes sur la gueule de leurs élèves ou des parents, les femmes violées en public sans que les témoins réagissent, les policiers assassinés par les truands et systématiquement désavoués et même poursuivis s’ils ont le mauvais goût de considérer l’ordre public et leur propre peau comme plus précieux qu’un truand, les partis de tous horizons et les Églises qui font chorus pour nous culpabiliser et nous submerger sous une immigration croissante, partis et Églises qui ne sont que les carpettes des grands lobbies qui consciemment et systématiquement affament le tiers-monde et nous font submerger par lui, car ils font ainsi coup triple : bénéfices énormes, destruction des cultures indigènes traditionnelles, destruction de la race aryenne, fière et impossible à réduire en esclavage.
Gardons nous de croire à une erreur de la crapulocratie des lobbies financiers et industriels. Il n’y a pas la moindre erreur, mais une entreprise aussi lucide que démoniaque. Ces gens n’ont pas commis la gaffe de s’allier à l’Allemagne pour liquider le bolchevisme, ils ont fait le contraire et, de leur point de vue, ils ont bien fait. L’éthique de sang et d’honneur était cent fois plus dangereuse pour la crapulocratie mondiale et mondialiste que le bolchevisme. Ce dernier ne pouvait manquer de se désintégrer de par ses contradictions envers la nature humaine, aryenne surtout. L’Aryen veut sa liberté d’entreprise. Il est l’homo faber à qui les doigts démangent de créer ce qui lui passe par la tête, le contraire de l’animal bloqué à un certain degré d’évolution (ce qui est le cas de certaines races humaines). L’Aryen est le plus jeune degré de l’évolution, la plus jeune mutation. Mais il n’a pas la ruse. Il a l’absence de méfiance des forts.
Le capitalisme est le contraire de l’Aryen, il est la misère de l’être qui se compense par l’enflure de l’avoir. Tout Aryen authentique donne par sa simple liberté d’allure de l’urticaire à un capitaliste. La guerre entre les deux est totale et de toujours. Le second pense : « Tout est à vendre, ce n’est qu’une question de prix ». Le premier pense : « Tout ce qui a un prix n’a que peu de valeur ».
Robert Dun. 1991.
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