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Léon Joseph Marie Ignace Degrelle est né le 15 juin 1906 à Bouillon, Belgique.

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Le 23 mai 1945, le Reichsführer-SS Heinrich Himmler est assassiné par les vainqueurs.

« C’est un homme de taille moyenne, aux yeux fureteurs, à la tête ronde, à la peau pâle et luisante.

Peu d’Allemands l’ont vu de près. Moins encore le connaissent. C’est, de tous les hommes d’État du Reich, celui dont on se fait l’image la plus imparfaite ou la plus fausse. Il paraît peu en public. S’il traverse une ville, il rend les saluts avec un geste saccadé. Visiblement il n’est point l’homme des parades. Il ne cherche ni à éblouir, ni à susciter des courants de sympathie.

Il travaille jusqu’à des heures inimaginables : à minuit, il y a encore six, huit ou dix visiteurs importants, qui attendent leur tour ; à deux heures du matin on fait toujours antichambres, à quatre heures du matin, les traits à peine tirés, la peau plus pâle certes, mais l’œil toujours en flèche, Himmler règle les cas posés par la conversation du dernier visiteur.

J’ai vu Himmler à la fin de ses longues nuits de travail, je l’ai vu quelques heures plus tard, prenant son petit déjeuner à la table commune, je l’ai vu dans son camp ou dans son train, je l’ai vu parmi la troupe ou près des glaciers de l’Allemagne du Sud : jamais dans aucune circonstance, je ne l’ai vu de mauvaise humeur ou amer.

Il est toujours joyeux. Sa conversation est pétillante, pleine de fusées. Cet homme simple et modeste, ce bourreau de travail est habité par une humeur merveilleusement égale, rendue possible par une santé parfaite, rendue réelle par une volonté toujours aux aguets, mais nourrie surtout par d’extraordinaires qualités de cœur. Le plus petit planton de ses baraques, la dactylo la plus timide, sont brusquement illuminés par le mot réconfortant que le Reichsführer SS leur lancera au passage.

Cette sensibilité explique tout l’œuvre d’ Himmler. Himmler l’abatteur de travail, Himmler le modeste, c’est avant tout l’homme qui s’est donné à Hitler une fois pour toutes. Il n’a pas seulement apporté au Führer et au Reich des qualités exceptionnelles d’homme d’État : il les a transfigurées par la fidélité d’une âme qui s’est projetée sans limite.

C’est à propos d’Himmler qu’un jour l’Histoire fera les plus étonnantes découvertes. Mais cette Histoire là, Himmler se contente, pour le moment, d’aider à la construire. Sa part, dans cette construction, deviendra toujours plus grande. Déjà aujourd’hui, elle est capitale. Himmler : l’inconnu qui soutient le Reich. »

Léon Degrelle (via « Cercle des Amis de Léon Degrelle »)

On est là bien loin de l’image probablement fallacieuse que les vainqueurs ont esquissé de Himmler. Car si les auteurs à la botte ne manquent pas d’insister sur l’aspect « falot et malingre» du Reichsfuhrer-SS , il passent généralement très vite sur d’autres faits : que volontaire à 17 ans, par exemple, il arrive juste pour assister à la fin de la guerre, mais plus tard, avec son frère, il intègre une unité de réserve, proche des Corps Francs et lors du putsch de Munich, c’est à lui qu’on accorde l’honneur d’arborer l’étendard de la Reichskriegsflagge face aux mitrailleuses de la police . Il n’hésite pas à parcourir les campagnes sur une vieille moto pour porter la parole nationale-socialiste auprès des paysans. Et quand les SS, obligés de faire du sport, devront jusqu’à 50 ans, se soumettre à un examen de contrôle sportif annuel , il sera le premier à s’y plier.

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31 mars 1994 : mort à Malaga (Espagne) de l’ancien chef rexiste belge et ancien Volksführer Léon Degrelle, à l’âge de 87 ans. « Si j’avais eu un fils, j’aurais aimé qu’il fut comme vous », lui avait dit Adolf Hitler, en lui remettant la Ritterkreuz (croix de chevalier de la Croix de Fer), une des plus hautes distinctions allemandes.

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A partir du 16 février 1944, au prix de terribles pertes, les unités allemandes et européennes parmi lesquelles la division SS Wallonie de Léon Degrelle rompent l’encerclement soviétique qu’elles subissaient dans le « chaudron de Tcherkassy » . Il reste à Léon Degrelle, qui s’était engagé comme simple soldat, six cent trente deux Wallons : son unité a perdu dans ces terribles combats les trois quarts de son effectif !

Le 20 février, il est fait chevalier de la Croix de fer.

« Degrelle prit place dans la grande Mercédès verte qu’ Himmler conduisait lui-même. Le « repaire du loup » se trouvait à une quarantaine de kilomètres plus loin. Ils arrivèrent vers minuit (…) Sous la voûte des sapins crûment illuminés par les projecteurs, des centaines d’ouvriers travaillaient aux abris bétonnés dressés contre la menace d’une guerre de bombardements sans discrimination, proclamée par les Anglais. Himmler en souligna le caractère à l’aide de l’interprète :

– C’est normal, dans une guerre de religion comme celle-ci, les porteurs de la foi adverse cherchent à tuer le prophète ennemi par priorité !

Les hauts sapins, l’éclairage qui donnait selon l’angle, tantôt une brillance cruelle, tantôt un flou lunaire, les hommes qui s’agitaient en silence, créaient une ambiance au niveau des Niebelungen. La seule présence d’Hitler expliquait cette suggestion, car les détails de son installation relevaient d’une grande modestie mais d’un sens pratique élevé. Lui même habitait un baraquement de série, situé un peu à l’écart des autres.

Degrelle attendit assez longtemps dans une sorte d’antichambre rustique, presque pauvre, en compagnie des généraux Gille et Liebe, d’Himmler, Fegelin et plusieurs gradés de la P.K., qui portaient leurs appareils de photos et cinéma. Puis une porte s’ouvrit, découpant sur le fond lumineux d’une vaste pièce la silhouette massive de Martin Borman qui servait d’introducteur. Il était 1 h 30 du matin. Degrelle se trouva tout de suite devant Hitler qui lui prit la main, ou plutôt l’enferma entre les siennes comme toutes les fois qu’il voulait témoigner une véritable affection, geste rare tantôt réservé à un enfant sortant de la foule massée sur son passage, tantôt à Mussolini descendant de son train spécial. Il lui dit de sa voix chaude, un peu rauque :

– Mein lieber Degrelle, vous m’avez donné tant d’inquiétude !

Puis il prend des mains de Borman la croix de chevalier de la croix de fer et en passe le ruban au cou du commandeur de la brigade d’assaut Wallonie. Un peu distrait, il fourre même la boîte sans valeur d’où elle sort entre les mains de l’ancien chef de Rex. Les éclairs de magnésium papillonnent autour des deux hommes, les appareils de prises de vues ronflent. Hitler qui a repris la main de Degrelle entre les siennes, dit brusquement

– Si j’avais eu un fils, j’aurais tant aimé qu’il vous ressemblât ! »

Saint-Loup, Les SS de la Toison d’Or. Presses de la Cité.

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Du beau monde hier à Bruxelles pour la première du film en 3D de Spielberg « Les aventures de Tintin. Le secret de la Licorne ».Très décontracté, le réalisateur d’Indiana Jones a rendu un hommage appuyé au talent d’Hergé nous dit-on. Où l’ironie est piquante, c’est que si Léon Degrelle, qui fut aussi journaliste au « Petit Vingtième », où officiait Hergé, n’affabule pas, dans son livre « Tintin mon copain » et que Hergé s’est bien inspiré de lui pour créer son personnage de vaillant petit reporter (il portait houpette et culotte de golf) , c’est en fait au chef de Rex que Steven Spielberg et Gad Elmaleh, très présent sur toutes les photos et devant toutes les caméras, ont rendu un vibrant hommage  ! amusant, non ?

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Léon Degrelle est né le 15 juin 1906 à Bouillon en Belgique.
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Hugo Pratt est né le 15 juin 1927 à Rimini en Italie.

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Robert Brasillach est né à Perpignan le 31 mars 1909.

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Léon Degrelle est mort le 31 mars 1994 à Malaga (Espagne).

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A chaque fois, je me le dis : je ferais mieux de ne pas regarder les Infos… pour ce que ça change… et c’est bien trop mauvais pour ma santé. Cette fois, c’était une manif, un ensemble de manifs plutôt, pour stigmatiser ( la gauchiasse aime bien ce genre de vocabulaire) le racisme de la politique sécuritaire du gouvernement -comme si le Nainpoléon, mari de la chanteuse, pouvait être autre chose qu’anti-blanc- et pour soutenir les sans-papiers et autres pauv’roms virés de leurs trous à rats pourris et par la même occasion de la poubelle d’accueil qu’est devenu notre pays.

100 000 manifestants revendiqués à travers tout le pays, 100 000 Kollabos lambda, politicards ou syndicalistes dont les vendus du Syndicat de la Magistrature, Agnès Jaoui, Jane Birkin, une autre Jeanne quelque chose qui doit être une petite starlette ou chanteuse dont je n’ai jamais entendu parler et Régine Zilberberg Choukroun la très vieille pouf pour représenter les bobos bonne conscience et satisfaits d’eux mêmes. Ceux là même qui, pour flatter leur image, ne s’intéressent qu’aux traine-lattes, de préférence allogènes, et que la vraie pauvreté indiffère car pas assez médiatique… Dommage, quand elle ne se prenait pas encore trop au sérieux j’aimais bien Jane Birkin mais j’aurais du me douter qu’il n’y avait rien à espérer de quelqu’un qui s’est laissé grimper par ce cloporte alcoolique de Serge Lucien Ginsburg… et qui en redemandait…

Devant ce spectacle pitoyable, le texte de Léon Degrelle n’en est que plus actuel!

« Quand je récapitule, je n’ai qu’un sentiment, c’est un immense regret, regret que nous n’ayons pas pu créer ce monde européen qui eut été le maître de l’univers pour toujours, qui assurait à la race blanche, la première des races, la grande domination de l’esprit. Quand nous voyons ce qu’il y a en face, ce que trente ans de victoire des autres ont donné : cette anarchie dans le monde, cette débandade du monde blanc, cette désertion à travers l’univers. Quand nous voyons dans nos propres pays la décomposition des mœurs, la chute de la Patrie, la chute de la famille, la chute de l’ordre social. Quand nous voyons cet appétit des biens matériels qui a succédé à la grande flamme de l’idéal qui nous animait, et bien vraiment, entre les deux, nous avions choisi le bon côté.

La petite Europe misérable d’aujourd’hui, de ce marché commun étriqué, ça peut pas donner le bonheur aux hommes. La société de consommation pourrit l’humanité au lieu de la grandir. Alors nous autres au moins nous avons rêvé à quelque chose de grandiose et nous n’avons qu’un seul désir, c’est que cet esprit là renaisse, et avec mes forces et jusqu’au dernier moment de mon existence, je lutterai pour ça, pour que ce qui fut notre combat et notre martyr soit un jour la résurrection ».

Léon Degrelle

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« Ce qui compte, c’est d’avoir possédé en soi l’essentiel : la passion du grand, du pur, du beau, du juste et de l’avoir projetée amplement et fraternellement parmi les hommes »

Journaliste , homme politique belge, fondateur du rexisme et combattant de la Légion Wallonie., Léon Degrelle meurt le 31 mars 1994 à Malaga en Espagne. On a d’abord dit que ses cendres avaient été dispersées au lieu dit « Le Tombeau du géant » près de Bouillon par ses proches, malgré une interdiction sous forme d’arrêté royal signé par Albert II, mais il semble bien en fait qu’elles le furent à Berchtesgaden, magnifique paysage de neige et de forêts…

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