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« Redevenons des Barbares, en mal de formes neuves et inconnues. Et si nous sommes à bout de souffle, nous savons que rien ne renaîtra plus de nous dans les formes quue nous connaissons, que la force de création ne reprendra en Europe qu’après de terribles dissolutions. Mais nous savons aussi qu’alors que le fleuve de notre civilisation est prêt de déboucher dans la mer qui boit tout, parcourant d’un trait le cycle récurrent des évaporations, des nuages et des pluies, notre imagination se rejette vers les sources d’où sortira le fleuve nouveau. Nous rôdons autour des abîmes parce que nous savons que nous y retombons mais que nous en ressortirons. Nous sommes l’Esprit Européen ».
Pierre Drieu la Rochelle    

« L’issue de la crise du monde moderne passe par une reprise du cours naturel des choses, une fusion entre l’esprit de Sparte- où les qualités viriles chapeautent la hiérarchie des valeurs -et l’esprit sudiste – ceux qui « s’efforcent de vivre selon « la nature des choses » qu’ils ne prétendent corriger qu’en y ajoutant de la politesse et de la générosité. » (…)

Bardèche propose cette définition: « Je désigne donc sous le nom de sudistes tous ceux qui, à quelque moment, ont ressenti une contradiction profonde entre le mode de vie et de détermination qu’une idéologie prétendait leur imposer et leur tempérament, leur instinct, leur attachement à une certaine manière d’être qu’ils estimaient conforme à la nature des choses » (…)

La morale sudiste est une morale de l’épanouissement sous l’égide de l’abbaye de Thélème avec le sel de l’humour, l ‘humour sur soi comme il se révèle dans la littérature du bonheur des Blondin, Nimier, Aymé ou Anouilh. Un bonheur inscrit dans un lieu et une chair non dans l’universel (…)

Le spartiate et le sudiste ont une définition biologique de l’homme, reconnaissent une loi naturelle dont le respect est le principe du bonheur. (…)

La fusion de Sparte et du sudisme au sein de l’homme et de sa cité n’implique pas l’absence de conflit :si le spartiate défend, le sudiste lui, gère ,le spartiate est sûr de lui, le sudiste « ne l’est pas et ne peut pas l’être » (…)

En résumé Bardéche propose une issue à la crise de l’Europe axée sur une rupture avec l’ère des masses et la mise en place de centres de combat et de rénovation spirituelle puisant aux sources les plus profondes de notre être aussi bien historique qu’anthropologique. (…) »

Nestor Santalune, à propos de « Sparte et les Sudistes » de Maurice Bardèche

Chaque jour un peu plus Je m’aperçois  que je ne pourrai jamais m’entendre avec des chrétiens dans un projet global de société tout simplement parce que ça va bien plus loin que le monothéisme ou le polythéisme, nous n’avons pas du tout la même vision du monde et ces visions différentes sont complètement antagonistes … on m’a dit l’autre jour que je regretterai le christianisme quand l’islam se sera imposé en France … c’est faux … je ne vois pas pourquoi je serais amené, en présence de la peste, à regretter le choléra … les deux me rendent malades et me font gerber…

A mon avis, peu de gens savent que la statue de Jeanne d’Arc, dans le square des Cordeliers, derrière le palais de Justice à Poitiers, est l’oeuvre de Maxime Real del Sarte, camelot du Roi de la première heure.

Mouvement de jeunesse, rattaché à l’Action Française de Charles Maurras et présentant un idéal de jeunesse frondeuse et rebelle, les Camelots recrutaient bien au delà des cercles monarchistes. Ils prirent une part active dans les émeutes du 6 février 1934 et furent dissous avec d’autres ligues en 1936.

Si je me souviens bien d’un bouquin de Maurice Pujo que j’avais lu, étant môme, à la bibliothèque, Maxime Real del Sarte était un personnage truculent, haut en couleurs, toujours prêt à participer à des ventes de l’Action française mais aussi à des groupes de réflexion comme aux bagarres de rue. Le sculpteur, chef des Camelots du Roi, qui allait revenir de la guerre amputé de l’avant bras gauche, vouait un véritable culte à Jeanne d’Arc dont il dit « je fus toujours son serviteur ». Il s’illustra notamment lors de l’ « affaire Thalamas » du nom d’un professeur qui avait été autorisé à ouvrir en Sorbonne, un cours libre sur la « Pédagogie de l’Histoire » au cours duquel il affichait son désir de détruire le culte de Jeanne d’Arc qu’il appelait la « Jeannolâtrie ». Si ce n’est point Maxime qui fessa le professeur, les fesses à l’air, couché sur sa chaire (on savait vivre à cette époque …) il n’en prit pas moins part active à l’agitation suscitée par « l’Affaire », écopant même de quinze jours de prison pour « outrages à agents ».

La géobiologie

Partout, où que ce soit sur notre globe, nous sommes sous l’influence permanente de deux colossales énergies desquelles nul ne peut se soustraire.

L ‘une de ces énergies provient du centre de la terre. C’est l’énergie tellurique.

Des profondeurs de l’espace sidéral émane une autre énergie. C’est l’énergie cosmique.

Par l’action centrifuge due à la rotation de notre globe, l’énergie tellurique est projetée en force sous nos pieds depuis le centre de la terre, et ce, avec d’autant plus de puissance qu’elle rencontre sur son passage des portes ouvertes: les failles, les courts d’eau souterrains, les cavités bouchées (grottes, anciennes mines comblées ou non, cavernes, etc.). Cette énergie est de polarité négative (force Yin des Chinois)

En opposition et pour la contenir existe l’énergie cosmique à polarité positive (force Yang).

Voilà mise en évidence la première essence de toute vie: la polarité.

Au niveau du sol ces deux potentiels Yin-Yang doivent impérativement égaliser leurs forces selon un rapport approximatif de 2 (cosmique) sur 1 (tellurique) afin que la vie puisse se nourrir de la qualité vibratoire justement dosée de chacune de ces deux énergies, et ainsi se dérouler en toute quiétude, en tout équilibre.

Cela se traduit sur un terrain en équilibre cosmo-tellurique par la présence de 70 à 80% de vibration cosmique pour 30 à 20% de vibration tellurique.

Si ces valeurs sont respectées, les pourcentages vibratoires s’expriment avec justesse, l’énergie cosmique nous inonde des sept couleurs vibratoires de l’arc en ciel: nourriture essentielle de nos sept principaux corps énergétiques. La vie peut s’épanouir !

Mais rares sont les lieux sur terre offrant cette possibilité d’échange. Souvent les valeurs sont inversées, soit 70 à 80% d’énergie tellurique et 20 à 30% (voire 10%) seulement d’énergie cosmique.

La terre exhale alors une énergie nocive. Alors, malgré nous, nous ressentons parfois un mal-être que nous ne savons pas exprimer. Pourtant si, quelque peu averti, nous observons notre environnement, certaines singularités nous interpellent. Par exemple des arbres qui poussent inclinés alors que dans le même périmètre, d’autres s’érigent à la verticale. Des éléments manquants dans la continuité d’une haie, malgré des repiquages successifs. Des plantations de toutes sortes parasitées sans raison apparente. Des animaux, nourris et entretenus correctement, qui dépérissent. Des constructions aux murs qui se lézardent malgré de nombreuses réparations. Bien entendu et aussi tout l’éventail de la souffrance humaine … fatigues incompréhensibles, insomnies rebelles à tous traitements, accidents inexplicables, commerces sans entrain, etc. Tous ces déboires sont très souvent la manifestation de l’énergie nocive exhalée par la terre.

C’est là que réside une des causes essentielles au « mal être de l’homme moderne ». Pourquoi la terre génère-t-elle une telle distorsion ? Pourquoi engendre-t-elle un tel déséquilibre ? Et pourquoi nous l’inflige-t-elle ? La réponse est simple: la terre, entité vivante, souffre aussi de certaines pathologies qu’il nous appartient de découvrir et de rectifier.

Trois raisons principales à ce que la terre en déséquilibre nous rende malade:

1) La première tient à l’inversion des polarités. Le corps humain, ainsi que toute chose dressée sur notre terre présente deux polarités bien définies. De la plante des pieds jusqu’au diaphragme, le corps est de polarité négative, comme le sol sur lequel il repose. Du diaphragme au sommet du crâne, il est de polarité positive de même nature que l’espace dans lequel il se déplace.

Chaque organe possède aussi deux polarités, le + et le -. Chaque échange, au niveau cellulaire, du plus infime au plus important, est régi par la loi de polarité. Chacune de nos cellules fonctionne grâce à la polarité:

le noyau est de polarité négative (-)

le cytoplasme de polarité positive (+)

afin que s’accomplisse le cycle de vie.

Vie = mouvement. Mouvement = cycle. Cycle = circulation d’énergie. Circulation d’énergie = polarité. Polarité = Vie.

Pour qu’une structure statique acquiert une dynamique il faut un moteur. Ici le moteur est la polarité. Si le moteur ne tourne pas rond, la vie ne pourra pas s’exprimer librement. Nous devons vivre dans l’ambiance d’un milieu équilibré où les valeurs de polarité sont en juste proportion. Dans un lieu de vie à prédominance Yin tellurique, empreint d’une trop grande énergie négative, les polarités n’étant plus respectées, notre Cycle de Vie souffre d’une carence: c’est la porte ouverte à toutes les pathologies.

2) La seconde raison de la nocivité de l’énergie tellurique à trop forte dose tient à sa capacité vibratoire intrinsèque.

Un bon équilibre cosmo-tellurique apporte au vivant une nourriture vibratoire compatible avec la vie. L’énergie cosmique amène les 7 vibrations couleurs de l’arc en ciel nécessaires au bon fonctionnement de nos chakras (qu’on peut préférer appeler, comme moi, « rouelles » ou « petits soleils »). L’énergie tellurique sans excès nous rattache à la terre mais une overdose sera néfaste pour la santé.

3) La troisième raison enfin, tient à la dynamique de cette énergie tellurique.

De par sa puissance, celle ci est capable de véhiculer tout ce qu’elle rencontre sur son passage. Elle est une énergie porteuse de toutes les vibrations d’ondes émises par une complexité d’éléments: eaux polluées, fosses septiques, lieux empoisonnés, cimetières, etc.

Cette énergie tellurique ne sort pas d’une manière anarchique sous nos pieds mais en des points précis: au niveau des croisements des réseaux telluriques. Ces réseaux peuvent être considérés comme étant le prolongement des méridiens de l’homme.

Le réseau « Hartman » appelé aussi « réseau global » est le plus connu. Pour se représenter un réseau il faut imaginer un mur vibratoire invisible d’une épaisseur théorique de 21 centimètres prenant sa source dans les profondeurs de la terre et s’élevant très haut dans le ciel. Il faut savoir en outre que ces murs vibratoires existent tous les mètres dans l’axe N/S et tous les 2.50 mètres dans l’axe E/O.

Nous vivons dans le cloisonnement permanent de ces murs vibratoires. Il existe en conséquence des croisements tous les 2 m. et tous les 2.50 m. C’est au niveau de ces croisements que l’énergie sort en force.

Elle le fait suivant un mouvement ascendant spiralé et imprègne la partie intérieure du rectangle délimité par les croisements.

Un autre réseau important est le réseau Curry ou « réseau diagonal ». Il est posé en diagonale soit N/O-S/E et N/E-S/O par rapport au réseau Hartman. Les mailles de ce réseau sont plus larges et plus variables (4 à 16 mètres), les murs vibratoires plus épais (40 centimètres environ). Leurs croisements génèrent aussi l’énergie tellurique.

D’autres réseaux existent aussi, dont les réseaux solaires, bénéfiques ceux ci, orientés N/S sur lesquels sont construits tous les monuments importants (basiliques, églises, Mont saint Michel, pyramides, etc.)

La superposition de deux croisements des réseaux Hartman et Curry définissent un point particulièrement nocif appelé « Point Etoile ».

Si, de surcroît, ce point se conjugue avec un passage d’eau ou avec l’influence d’une faille, celui ci devient un point hautement dangereux appelé « Point Géo-Pathogène ».

En outre, tous les réseaux sont porteurs d’informations que l’instinct de l’homme savait déchiffrer. Ainsi, avant un événement exceptionnel (tremblement de terre, éruption volcanique, forte perturbation quelconque), un élargissement de la bande du réseau peut être observé 12 à 48 heures précédant l’évènement, pour reprendre par la suite, une largeur normale.

Lors d’un cataclysme non naturel (explosion atomique, par exemple), les réseaux ne subissent aucune modification avant l’explosion mais restent perturbés plusieurs jours après.

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